Si le violet était…

Fleuron de l'horlogerie suisse, la maison Audemars Piguet réussit depuis 1875 la subtile alliance de l'audace et des traditions. Preuve en est la collection Code 11.59 by Audemars Piguet, qui s'enrichit cette année de cinq nouvelles références automatiques et cinq nouveaux chronographes à remontage automatique. Arborant des cadrans laqués complexes et une palette de couleurs nuancées, les dernières nées de cette collection revisitent avec brio un modèle iconique de montre ronde intemporelle. Découverte de la couleur violette.

Une montre unique comme la Code 11.59 by Audemars Piguet

Les cinq nouvelles montres de la collection Code 11.59 by Audemars Piguet incarnent les valeurs qui font le succès de la maison Audemars Piguet depuis sa création. Parmi les nouvelles références, le modèle violet se distingue par son élégance iconoclaste. Surmontée d’une glace saphir antireflet, la boîte en or rose 18 carats abrite un cadran violet fumé du plus bel effet. Son rehaut noir contraste avec le bracelet en alligator violet à larges écailles carrées. Ponctué d’une boucle ardillon en or rose 18 carats, ce bracelet confère à la montre un caractère audacieux. Une ode au violet, couleur impétueuse éminemment chargée de symboles.

Un instrument électrisant comme une guitare

Si le violet était un instrument, il serait une guitare entre les mains de Prince. Le génie de Minneapolis avait fait du violet l’un des marqueurs de son identité artistique. Costumes de scène, instruments ou pochettes d’albums : le violet est partout présent dans l’oeuvre de Prince. Un parti pris assumé dont le point restera la chanson Purple Rain, tube planétaire diffusé pour la première fois sur les ondes en 1984. Les mélomanes avertis n’ont certainement pas oublié les guitares de couleur violette que Prince arborait sur scène. Des instruments aux formes souvent étranges et parfois surprenantes ! Comme autant de symboles de cet artiste inclassable, nourri de toutes les influences musicales.

Un chef d’oeuvre iconique comme le Self-Portrait d’Andy Warhol

Si le violet était un chef-d’œuvre, il serait le Self-Portrait réalisé par Andy Warhol en 1986. Ce tableau aux dimensions généreuses met en scène le visage de l’artiste, baigné de lumière violette sur un fond noir immaculé. Accoutumé aux autoportraits, Andy Warhol a signé ici l’une de ses toiles les plus abouties. Une œuvre minimaliste, dans laquelle le peintre a sublimé avec brio les traits de sa physionomie. Jouant résolument la carte des contrastes, le tableau oppose le noir intense du regard au violet lumineux du visage. Un dialogue des couleurs réussi, qui fait de ce Self-Portrait l’une des œuvres emblématiques du Pop Art.

Un fruit authentique comme le raisin muscat

Si le violet était un fruit, il serait le raisin muscat, franc et authentique. Cultivé dans l’ensemble du pourtour méditerranéen, il regroupe deux cents cépages allant du jaune pâle au bleu noir. Gorgées de soleil, les variétés violettes sont appréciées pour leurs arômes intenses et leurs notes soutenues. Vins de liqueur, vins secs ou vins effervescents : les saveurs musquées couvrent toute la palette des créations vinicoles. Mention spéciale pour l’Aleatico produit par les viticulteurs de l’île d’Elbe ! Raisin de couleur prononcée, il donne des vins doux aux accents nuancés. Un nectar délicat que l’on savoure avec autant de plaisir que de modération.

Un joyau au charme indicible comme l’améthyste

Si le violet était un joyau, il serait une améthyste au charme indicible. Cette pierre fine tire son nom du grec ancien amethustos, qui signifie « ne pas être soûl ». Dans l’Antiquité, les croyances populaires prêtaient à l’améthyste des vertus protectrices contre l’ivresse. D’où la coutume – alors répandue chez les plus aisés – de consommer son vin dans des coupes en améthyste. Au-delà de l’anecdote historique, ce quartz aux reflets violets est aujourd’hui encore plébiscité par les joailliers. Une fois taillée, l’améthyste apprivoise à merveille la lumière qui traverse sa matière translucide. Un spectacle qui aimante le regard…